Recommandations | Les livres à (s’)offrir – édition des fêtes 2024

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Les fictions

  • Tout brûler, Lucile de Pesloüan – 21,95$/15€
    • « Stella, quarante ans, retrace les abus subis dans sa famille. Trente ans après les faits, elle porte plainte, dénonce inceste et omerta, agresseurs et complices. Sa vie bascule. Aux yeux de tous, elle devient la personne par qui le mal est arrivé. »
  • La danse des flamants roses, Yara El-Ghadban – 29,95$/22€
    • « Palestine. La mer Morte s’est évaporée. La maladie du sel dévore la région et menace l’humanité. Pourtant, là où étaient relégués des milliers d’habitants, survivent paysans, colons, soldats, prisonniers et ouvriers. Ensemble, ils rebâtissent une communauté. Des colonies de flamants roses s’installent. Une utopie naît. »
  • Le Don, Kristina Gauthier-Landry – 27,95$/20€
    • « Dans une adresse à celle qui lui a tout donné, Kristina Gauthier-Landry offre un récit indocile et lumineux. Tissant des liens entre des générations de femmes discrètes, elle tente un cri à fendre les eaux, prête à tout remuer pour vivre sa vie et laisser la preuve qu’elle existe. »
  • Les sentiers de neige, Kev Lambert – 31,95$/21,90€
    • « C’est le premier Noël depuis la séparation. Les parents de Zoey se sont fait un calendrier du temps des fêtes pour la garde partagée. Sa mère souffre que son garçon passe le 24 décembre loin d’elle. Zoey sera avec son père au Lac-Saint-Jean, elle l’aura après. Au milieu des flocons scintillants et des grands froids, de Noël au jour de l’An, dans une famille ou dans une autre, Zoey va surtout explorer les sentiers hallucinés de l’enfance avec sa cousine préférée, Émie-Anne, la plus courageuse personne de son âge qu’il connaît. »
  • Récitatif, Toni Morrison, Zadie Smith et Christine Laferrière – 24,95$/14€
    • « Roberta et Twyla, 8 ans, font connaissance à l’orphelinat Saint Bonaventure de Newburgh, à New York. Inséparables durant quatre mois, elles empruntent toutefois des chemins différents. Plusieurs années plus tard, elles se croisent à trois reprises sans le vouloir. Elles se remémorent un événement tragique survenu au cours de leur enfance à l’orphelinat. »

La poésie

  • Post-espoir, Lula Carballo – 20,95$/ND€
    • « nous ne sommes plus la même personne après avoir subi l’expérience de la violence. derrière la façade aveuglante et effritée de l’espoir, le corps survit aux dynamiques intimes, aux abus et aux structures inépuisables du pouvoir. fragment par fragment, morceau par morceau, comme on arrache les murs d’une maison, l’écriture de lula carballo, se désagrège au fil du recueil en autant de décombres. »
  • La terre nous est étroite, Mahmoud Darwich et Elias Sanbar – 25,95$/14,20€
    • « Auteur d’une quinzaine de recueils de poèmes, Mahmoud Darwich compose pour ce volume sa première anthologie, avec de nombreux textes inédits. Voix de la Palestine, il est celui qui a forgé les chants de l’exil, chanté le temps suspendu et dessiné les rêves, ainsi que les regrets d’une identité irréductible. Préface et choix de l’auteur. »
  • Le ventre des roches, Claire Moeder – 26,95$/ND€
    • « Voyage introspectif et sensoriel, le ventre des roches trace le chemin entre tempête et survivance, là où la nature sauvage et le temps se mêlent à la présence humaine. Poèmes et photographies s’entrelacent dans ce recueil pour raconter l’histoire d’une lignée de femmes campée sur les berges gaspésiennes, au creux des forêts primitives de l’Ouest et sur les montagnes : la mère décédée, la narratrice orpheline et son enfant. »
  • Scénarios catastrophes, Alexie Morin – 23,95$/ND€
    • « J’ai quitté Windsor et la maison familiale en 2003. J’avais dix-neuf ans. J’ai emménagé à Montréal, dans un vieux cinq et demie du quartier Centre-Sud, où j’ai fumé trop de drogue et écrit par milliers des pages d’un roman qui n’aboutirait jamais. Bientôt, plus rien n’a eu de sens. Ni mes études, ni mon travail, ni le fait d’être une personne. Immobile, engourdie, j’attendais de savoir comment agir, que croire, quoi devenir. J’ignorais combien de jours de ma vie je passerais seule, dans cet appartement puis d’autres, à chercher des phrases, à compter les minutes perdues, à anticiper des désastres dans l’espoir qu’ils ne se réalisent pas. »
  • Plonger dans l’épave, Adrienne Rich et Chantal Ringuet – 22,95$/ND€
    • « Pour la première fois traduit en français dans son intégralité, Plonger dans l’épave, lauréat du National Book Award en 1974, est une odyssée radicalement féministe qui explore, avec un souffle incomparable, les mythes et les tréfonds de la société – ce qui a été oublié, muselé ou encore, inexploré. Véritable icône de la poésie américaine, Adrienne Rich propose ici des poèmes d’une grande force symboliste qui puisent à même son engagement pour les droits des femmes et pour la diversité sexuelle. »

Les essais

  • Sexualités et dissidences queers, Chacha Enriquez (dir.) – 32,95$/25€
    • « À la jonction des savoirs universitaires et militants, ce livre entend démystifier l’emprise qu’exercent les normes sur nos sexualités. L’ordre sexuel comporte un ensemble de règles souvent tacites régulant les dimensions les plus intimes de nos vies. Qu’a-t-il comme effet sur certain·es membres de la société? Cet ouvrage collectif réunit des personnes qui réfléchissent à la libération des pratiques sexuelles et amoureuses à partir de la sociologie, de la sexologie, du travail social ou d’une perspective de terrain. Il permet une rare prise de parole commune de dissident·es sexuel·les autour des bisexualités, du plaisir, de la culture du consentement, du sexting, du travail du sexe, etc. »
  • Personne ne s’excusera, Aurélie Lanctôt – 15,95$/10,99€
    • « Au Québec, le raz-de-marée #MoiAussi a durablement transformé les attitudes face aux violences sexuelles et provoqué de nombreuses réformes. Tous ces changements étaient souhaitables et nécessaires. Mais en plaçant le système pénal au cœur de notre réponse aux besoins des survivant·e·s, nous avons précipité le mouvement dans une impasse: le recours à la violence, administrée cette fois par l’appareil pénal de l’État, a éclipsé les autres voies de réparation possibles. »
  • Libérer la paresse, Geneviève Morand et Natalie-Ann Roy – 27,95$/21€
    • « Après avoir disséqué la colère et la luxure, Geneviève Morand et Natalie-Ann Roy poursuivent leur relecture impénitente et tendancieusement féministe des péchés capitaux. Dans cette œuvre chorale, quelque part entre deux burnouts, les auteurices rassemblé·es dénoncent tout ce qui les épuise et se demandent qui, en ce bas monde, a vraiment droit au repos. Entre le travail toxique et l’obsession de la beauté, entre la charge mentale, le sexisme, la pauvreté, le capitalisme sauvage, la violence conjugale et la planète qui brûle, il faudrait, en plus, prendre le temps de méditer? Non. Nous exigeons le droit de ne pas réaliser notre plein potentiel. Et de rester couché·es. »
  • Parler sexe, Maude Painchaud-Major – 20$/14€
    • « Construire sa sexualité sans se soucier des normes, avoir et donner du plaisir sans tabous, développer une intimité sexuelle loin des obligations de performance… Cet essai est une invitation à définir, ensemble, une éthique sexuelle pour parler sexe, simplement et en toute liberté. »
  • Féministes des champs, Constance Rimlinger – 45,95$/23€
    • « Fruit d’une enquête de plusieurs années, une étude sur les communautés en marge de la société dominante. Mêlant analyse sociologique et portraits, l’auteure montre comment des personnes queers, des lesbiennes et des féministes vivent ensemble à la campagne et tentent de se reconnecter à la nature, loin des normes de genre et de sexualité. »

Les livres d’histoire

  • L’antifascisme : Son passé, son présent et son avenir, Mark Bray et Sébastien Fontenelle – 16,95$/11€
    • « Dans cette captivante enquête, Mark Bray donne un aperçu unique de l’intérieur de ce mouvement et écrit une histoire transnationale de l’antifascisme depuis la Seconde Guerre mondiale. Rédigé à partir d’entretiens menés avec des antifascistes du monde entier, L’antifascisme dresse la liste des tactiques adoptées par le mouvement et en analyse la philosophie. Il en résulte un éclairant portrait de cette résistance méconnue, souvent mythifiée, qui lutte sans relâche contre le péril brun. »
  • Mobilisées! Une histoire féministe des mobilisations populaires, Fanny Gallot – 41,95$/22,50€
    • « Une étude du rôle joué par les femmes dans les luttes sociales depuis 1945 et de la façon dont leurs revendications ont fait évoluer les choses au sein même des mouvements sociaux. »
  • Les femmes et la musique au Moyen Age, Anne Ibos-Augé – 45,95$/24€
    • « Portrait de femmes qui ont marqué l’art musical au Moyen Age, que ce soit comme musiciennes religieuses ou profanes, compositrices ou ménestrelles : Hildegarde de Bingen, Azalaïs de Porcairages, la comtesse de Die, Maroie de Diergnau, Aliénor d’Aquitaine, entre autres. Issues de toutes les strates de la société, elles sont étudiées dans l’intimité de leur vie quotidienne. »
  • Les soeurs Nardal, Léa Mormin-chauvac – 39,95$/21€
    • « Femmes de lettres, musiciennes et intellectuelles, Alice, Andrée, Lucy, Cécile, Emilie, Paulette et Jane Nardal fréquentent les milieux artistiques et intellectuels parisiens dans les années 1930. Elles militent également pour le droit de vote des femmes et les droits civiques. Retour sur les trajectoires hors normes de ces sept soeurs originaires de la Martinique. »
  • Je m’appelle révolution, Lucy Parsons – 26,95$/20€
    • « Cette anthologie, la plus complète à ce jour, rassemble une quarantaine des textes de Lucy Parsons, discours et conférences, qui abordent les sujets qui ont marqué son combat: la destruction du capitalisme et la violence révolutionnaire, la liberté d’expression, l’égalité entre les hommes et les femmes, le racisme et le travail des enfants. Aux côtés de Louise Michel, à qui elle rend d’ailleurs hommage, de Voltairine de Cleyre et d’Emma Goldman, Lucy Parsons est un exemple flamboyant de cette lignée de femmes qui ont dédié leur existence à la cause anarchiste ainsi qu’à la défense de la classe ouvrière et des plus vulnérables. »

Les bandes dessinées

  • California dreamin’, Pénélope Bagieu – 22,95$/12€
    • « Ellen Cohen, née dans une famille juive de Baltimore en 1941, rêve de devenir chanteuse. Elle a une voix exceptionnelle mais cache une faille car elle est boulimique et grosse, trop pour espérer devenir une star. À 19 ans, elle devient Cass Elliot et tente sa chance à New York où elle tombe amoureuse de Denny, le chanteur des Journeymen. Elle intègre le groupe The mamas and the papas. »
  • La belle de mai, Élodie Durand et Mathilde Ramadier – 42,95$/22€
    • « A Marseille, en 1887, plus d’un millier de femmes travaillent à la manufacture de tabacs de la rue Bleue. Malgré la modernisation, les conditions de travail sont terribles pour les immigrées italiennes. Après une énième sanction injustifiée contre l’une d’entre elles, trois cigarettières, Sespo, Teresa et Rosa, organisent une grève sur le tas et alertent la presse ainsi que l’opinion publique. »
  • Je pense que j’en aurai pas, Catherine Gauthier – 29,95$/22€
    • « Sous la forme d’une autofiction, à la fois roman graphique et journal intime, l’autrice aborde l’absence de maternité : un sujet épineux, empreint d’émotivité, qu’elle traite avec prudence, respect et sensibilité. Une introspection illustrée qui laisse place à l’interprétation et au questionnement. Chaque chapitre est entrecoupé de témoignages d’autres femmes qui expliquent pourquoi elles n’ont pas eu d’enfant. »
  • Seek You : Un voyage dans la solitude contemporaine, Kristen Radtke – 32,95$/29,90€
    • « Dans le roman graphique documentaire Seek You, Kristen Radtke explore ce que signifie « être seul » à notre époque. En quoi est-ce différent de « se sentir seul »? Quelles façons de nouer des liens les humains ont-ils trouvées à travers l’histoire? En quoi notre quête ou notre refus du lien nous renseignent-ils sur notre nature profonde? »
  • Femme, vie, liberté, Marjane Satrapi (dir.) – 44,95$/32€
    • « Avoir vingt ans en Iran et mourir pour le droit des femmes. Le 16 septembre 2022, en Iran, Mahsa Amini succombe aux coups de la police des mœurs parce qu’elle n’avait pas « bien » porté son voile. Son décès soulève une vague de protestations dans l’ensemble du pays, qui se transforme en un mouvement féministe sans précédent. Marjane Satrapi a réuni trois spécialistes : Farid Vahid, politologue, Jean-Pierre Perrin, grand reporter, Abbas Milani, historien, et dix-sept des plus grands talents de la bande dessinée pour raconter cet événement majeur pour l’Iran, et pour nous toutes et nous tous. »

Les petits budgets

  • Les sorcières dans la littérature – 5,75$/3€
    • « Quatorze portraits de sorcières issus de la littérature classique et contemporaine, de W. Shakespeare à M. Condé en passant par G. Sand. »
  • Autolouange et autres poèmes, Anne Brontë, Emily Brontë et Charlotte Brontë – 3,95$/2€
    • « Sélection de vingt poèmes issus du recueil paru en 1846 sous les pseudonymes de Currer, Ellis et Acton Bell et publié à compte d’auteur. Dans ces textes, s’expriment notamment les préoccupations religieuses des soeurs Brontë, mais aussi la question de la liberté des femmes. D’autres poèmes évoquent l’imagination, la nature ou encore divers sentiments. »
  • Pour un herbier, Colette – 5,75$/3€
    • « En 1947, l’éditeur suisse Mermod propose à Colette de lui envoyer des fleurs deux fois par semaine, pendant un an ou deux. En contrepartie, Colette fait le portrait de l’une ou l’autre de ces fleurs. Le recueil comporte 22 textes évoquant l’anémone, l’hellébore, le muguet, les jeannettes ou encore le pavot. »
  • Les songes et les sorts, Marguerite Yourcenar – 5,75$/3€
    • « Paru initialement en 1938, cet ouvrage, resté inachevé dans la forme augmentée souhaitée par son auteure, déploie en 22 récits oniriques la carte d’une poétique du songe, établissant une analogie entre l’expérience du rêveur et celle du poète. »
  • Des heures à lire, Virginia Woolf – 5,75$/3€
    • « Un recueil d’essais dans lesquels Virginia Woolf évoque la lecture, la fiction moderne, les rues de Londres ou encore les professions féminines. »

Les livres jeunesse

  • [3-6 ans] Le chant de la grive, Josée Bisaillon et Martine Arpin – 22,95$/18€
    • « Il peut imiter le chant de la grive à la perfection, préparer la meilleure salade de chou du monde entier, même réciter le nom de toutes les constellations, mais devant les insultes du grand Jules, son ciel étoilé et chantant se couvre de grisaille. Puis, tout change au moment où les camarades, telle une volée d’oies sauvages, s’élèvent contre l’intimidateur. »
  • [Dès 6 ans] Mes émotions ! Isabelle Filliozat, Éric Veillé et Virginie Limousin – 14,95$/8,90€
    • « Un cahier d’activités pour reconnaître et vivre avec ses émotions, la colère, la joie, la peur ou la honte. »
  • [10-14 ans] La fabuleuse expédition d’Astrale, Lily-Belle de Chollet et Chevalier Chevalier Gambette – 19,95$/11,95€
    • « Accompagnée de son frère River, de leur oncle Enoë d’une navigatrice chevronnée et d’un jeune homme qui n’est peut-être pas celui qu’il prétend être, Astrale part à la recherche de sa mère, exilée sur la mystérieuse île aux Mille récifs. Mais celle-ci semble être reliée aux créatures fabuleuses de l’archipel du Dragon d’écume. »

Recommandations | Les livres à (s’)offrir – édition des fêtes 2023

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Les fictions

  • Wollstonecraft, Sarah Berthiaume – 22$/22€
    • « Marie est autrice. Son dernier roman a soulevé l’ire de ses modèles féministes et l’a laissée vidée, incapable d’écrire. Après plusieurs fausses couches, suivant des conseils obtenus par télémédecine, elle conserve ses fœtus au congélateur afin de les soumettre à des tests, pendant que Perceval, son chum, coécrit des poèmes avec l’algorithme qu’il a créé et que son amie Claire, ancienne comédienne, gravit les échelons de la vente de Tupperware. Par une sinistre nuit de novembre, alors que la pluie fouette les vitres et que retentissent les cris stridents d’une imprimante 3D, Marie accouche d’une idée funeste qui va tout faire basculer. S’inspirant librement de la vie de Mary Shelley et de son Frankenstein, Sarah Berthiaume sonde les abysses de la création et de la procréation dans une comédie gothique, féministe et dystopique qui dissèque nos propres monstruosités. »
  • Kanatuut, Natasha Kanapé Fontaine – 24,95$/13,99€
    • « Que signifient ces manifestations étranges en connexion avec les personnages innus ? Est-ce l’intérieur des terres, le Nutshimit, qui souhaite reprendre contact avec le peuple, le réinviter dans ses sentiers pour qu’il recouvre sa mémoire ? Qu’est-ce qui réside dans le territoire, que les Blancs n’ont jamais trouvé, mais qui a toujours ramené les Innus vers le nord, en plein coeur des hivers les plus hostiles ?La forme courte des nouvelles permet à l’autrice de soumettre le lecteur à sa vision du monde qui l’entoure, elle, au quotidien. Ce dernier est fait de surréalisme, de réalisme magique, d’onirisme ; de créatures fantastiques ou réelles de la tradition orale, d’esprits de l’animisme ancestral qui habitent l’univers contemporain ; de la relation avec un territoire sans merci, qui donne néanmoins aux protagonistes la puissance nécessaire pour survivre dans un monde qui va à l’encontre de leurs valeurs. »
  • Dans la lumière de notre ignorance, Marianne Marquis-Gravel – 24,95$/14€
    • « Ils enseignent dans le même collège, mais ne se sont jamais vraiment rencontrés jusqu’au jour où le destin, avec la complicité d’un rêve et d’une panne d’électricité, les réunit. Ils ne se quittent plus, achètent une maison ; ils vivront heureux, en lisant et en écrivant, auront sans doute un enfant qui sera leur plus beau livre. Mais voilà que la belle histoire à peine commencée est foudroyée par l’implacable diagnostic : il a un cancer incurable, l’avenir est désormais un sablier qui fuit et chaque étreinte manquée est une éclipse terrible. »
  • Mouron des champs, Marie-Hélène Voyer – 21,95$/18€
    • « Mouron des champs dit l’histoire de vies dures et empêtrées, de destinées de filles de fermiers, de pauvresses du bout du rang, de mères travailleuses infatigables aux désirs corsetés. Revitalisant brillamment le vocabulaire des parlers populaires, Marie-Hélène Voyer fouille les lieux de vie familiaux où se resserrent l’emprise de la domesticité et la violence de la contention. Cette poésie profonde et tassée comme un pain de mie porte la voix des mortes et met en lumière les encagements du passé. Mouron des champs, suivi de l’essai Ce peu qui nous fonde, est l’occasion pour la poète de revenir sur la disparition de sa mère, cette femme de cendre qui s’effondre, sur les ombres qui planent depuis l’enfance et sur l’affranchissement que permet l’écriture. Un souffle d’amour pour apprendre à vivre. »
  • Il y a des joies dont on ignore l’existence, Ouvrage collectif – 20,95$/13,99€
    • « Une jeune femme adoptée par un couple de Québécois qui trouve du réconfort dans un restaurant, une enseignante de Montréal-Nord qui reconnecte avec ses racines grâce à ses élèves, deux femmes qui trouvent l’amour aux abords de la 40, une famille choisie qui imagine une maison de retraite en Gaspésie, un-e poète qui partage des portraits de ses ami-es, une religieuse qui joue au ballon-chasseur, une enfant qui apprend à retirer son nom de la bouche des autres, une fille qui trône sur une charrette, des chants religieux qui nous ramènent à la maison, la tête qui nous tourne dans une quinceañera, un périple depuis la plage vers Hochelaga, une série de réflexions sur notre rapport au monde. »

La poésie

  • Ce qui est tu, Caroline Dawson – 20,95$/19€
    • « Dans ce livre, Caroline Dawson s’adresse à son fils qui célèbre ses 7 ans, le même âge qu’elle avait lorsqu’elle a immigré au Québec, pour lui raconter tout ce qu’elle a eu d’abord l’instinct de taire : l’exil, le racisme, la honte. Avec une écriture soignée cherchant à traverser les frontières entre la poésie et le récit, l’autrice répare la césure qui sépare la réfugiée timorée dans un monde inconnu de ce garçon téméraire, trilingue et amoureux des bestioles. Ce qui est tu bâtit minutieusement de véritables ponts entre les expériences et les générations, de manière à donner en héritage non pas la honte, mais rien de moins que la beauté du monde. »
  • Exercices de joie, Louise Dupré – 22$/15€
    • « Troisième recueil d’un triptyque sur les possibilités du poétique face à l’horreur et à la détresse, Exercices de joie prend le risque de la tendresse en choisissant la douceur comme arme de combat. Dans une écriture fluide qui alterne entre prose et vers, les poèmes explorent la notion de joie, non seulement comme quête d’apaisement, mais comme responsabilité à l’égard des autres : le souci de leur apporter espérance. »
  • Chose sensible suprasensible, Mélanie Landreville – 20,95$/13,99€
    • « Ce qui est enfoui risque d’exploser vif. Une enfance, par exemple. Une enfance de douleurs enfouies dans une personne pourrait exploser. « Ton frère s’est tué », dit la voix de la mère au téléphone. Dès lors le monde, tout impraticable qu’il était, infesté de violences patriarcales, se défait pour de bon. »

Les essais

  • Troubles, nos ombres, Jennifer Bélanger – 25,95$/23,50€
    • « Jennifer Bélanger aménage un espace sécuritaire où peuvent s’exprimer librement les personnes LGBTQ2IA+, hors des injonctions au bonheur et à la célébration. Ici, les ombres sont invitées à troubler la parole, avec leurs bagages remplis d’enfances difficiles, de traumatismes sociaux, de violences conjugales et de blessures encore vives qu’il importe de nommer pour valoriser nos expériences singulières, plurielles, complexes. »
  • Les têtes brûlées : carnets d’espoir punk, Catherine Dorion – 29,95$/14,99€
    • « Pendant son mandat, Catherine Dorion a tenu un journal, relevant tous les moyens par lesquels le pouvoir colonise les êtres, les peuples et notre avenir. Il en ressort un texte qui est tout à la fois un récit d’aventures, avec des batailles enlevantes et des scènes d’émotion brute, et une réflexion profonde sur les nouveaux chemins qu’il faudra débroussailler pour s’évader du carcan de solitude et de désespoir dans lequel nous sommes pris. »
  • Hors jeu : chronique culturelle et féministe de l’industrie du sport professionnel, Florence-Agathe Dubé-Moreau – 24,95$/18€
    • « De plus en plus de femmes sont visibles dans le sport professionnel masculin. De spectatrices, cheerleaders ou conjointes d’athlètes, elles atteignent désormais les rangs de coachs, d’arbitres et même de directrices d’équipe. Est-ce un mirage ? Qu’en est-il exactement ? À partir d’une posture d’exception, celle de partenaire d’un joueur célèbre, mais aussi d’intellectuelle engagée parachutée sur un terrain de football à Kansas City, Florence-Agathe Dubé-Moreau déconstruit un à un les mythes entourant les femmes dans l’industrie. Haut lieu de reproduction des pires stéréotypes de classe, de race et de genre mais aussi lieu de résistance. »
  • Les hommes et le féminisme, Francis Dupuis-Déri – 20,95$/17,90€
    • « Opportunisme, fumisterie ou solidarité ? Théâtre politique ou alliance véritable ? Les féministes ont vu neiger. Tant d’hommes font mine de rejoindre leurs rangs pour des motivations douteuses, qui n’ont rien à voir avec l’émancipation des unes ou le disempowerment des autres. Dans une enquête passionnante qui puise dans l’histoire méconnue des hommes proféministes et de leurs engagements en Europe, en Afrique, en Asie et dans les Amériques, l’auteur rappelle que cette posture paradoxale peut entraîner son lot de problèmes pour les féministes elles-mêmes, qui ne souhaitent ni mener la lutte en vase clos, ni voir des hommes l’usurper (en portant une cape de superhéros). »
  • S’engager en amitié, Camille Toffoli – 20$/14€
    • « Lieu de grande liberté, de partage et d’intimité, les amitiés se déploient sous toutes sortes de formes. Qu’elles soient brèves ou s’inscrivent dans la durée, elles nous façonnent comme individus. Dans un essai très original et sans tabou où se croisent témoignages et expérience personnelle, Camille Toffoli a voulu montrer combien les amitiés peuvent influencer nos parcours individuels et jouer un rôle politique, car elles ont le potentiel de transformer le monde dans lequel nous évoluons. Pourquoi ne pas redonner à l’amitié une place centrale dans notre société? S’engager en amitié est une invitation à explorer la force des amitiés et en révéler tout leur potentiel émancipateur. »
  • Pissed pestes puissantes, Ouvrage collectif – 24,95$/16,99€
    • « Le recueil Pissed pestes puissantes fait suite au collectif Folles frues fortes. Toutefois, cette fois-ci, le projet rassemble exclusivement les voix d’auteur·ices racisé·es pour faire entendre différents récits dans une perspective intersectionnelle. Ce recueil est l’occasion de réfléchir aux différentes formes que peut prendre le féminisme autour de trois figures – la colérique, la mauvaise, la redoutable – des stéréotypes, négatifs et positifs, auxquels les personnes racisées sont souvent associées. Les auteur·ices ont ainsi pu produire des textes afin de se réapproprier ou de subvertir ces clichés. »

Les livres d’histoire

  • Le Bus des femmes : Prostituées, histoire d’une mobilisation, Anne Coppel, Lydia Graggiotti et Malika Amaouche – 37,95$/20€
    • « En pleine épidémie de sida, des prostituées interpellent les pouvoirs publics sur leur santé et les conditions d’exercice de leur métier. Leur action, contemporaine de la création d’Act Up-Paris, conduira à la création du Bus des femmes en 1990. Un document historique rarissime qui témoigne de l’histoire des mobilisations citoyennes, un exemple unique de class action chez les prostituées. En 1990 à Paris, alors que l’épidémie de sida produit chaque jour plus de ravages, des prostituées se mobilisent et interpellent les pouvoirs publics. Huit grands cahiers jaunes à la couverture toilée circulent rue Saint-Denis et au-delà, sur les boulevards périphériques ou chez les marcheuses des Champs Élysées : les femmes y écrivent des « lettres de confidences » pour témoigner des conditions d’exercice de leur métier. Cette parole est rare. Fragile, elle fait surgir une réalité diverse et incarnée, violente et ordinaire : bataille du préservatif, peurs et rivalités, mais aussi dignité et revendication de droits et d’un statut social. Car les lettres recèlent aussi la force de l’écrit. C’est un exemple remarquable d’empowerment dans l’histoire des femmes, la naissance d’une conscience collective à l’issue heureuse : la création du Bus des femmes, première association de santé communautaire de prostituées, dirigée par des prostituées. »
  • Une histoire des produits menstruels, Jeanne Guien – 33,95$/18€
    • « Loin d’être un phénomène purement biologique, les règles et plus généralement le cycle menstruel forment une expérience socialisée. Chaque société développe une culture menstruelle dominante, faite de pratiques, techniques et représentations plus ou moins acceptables. Ce livre étudie la culture menstruelle propre aux sociétés consuméristes, dans lesquelles toute expérience (notamment, toute expérience du corps) tend à être associée à des produits marchands. À travers l’histoire de trois produits menstruels – les serviettes jetables, les tampons jetables et les applications de suivi du cycle menstruel – l’auteure poursuit son enquête sur le consumérisme, les objets du quotidien et le dressage des corps féminins. »
  • De cendres et de braises : voix et histoire d’une banlieue populaire, Manon Ott – 50,95$/25€
    • « Au pied des tours de la cité, à l’entrée de l’usine ou à côté d’un feu, Fabienne, Jamaa, Yannick, Antoinette, Momo et d’autres entreprennent, aux côtés de Manon Ott, un récit que d’ordinaire on entend peu. Il y a deux façons d’entrer dans ce livre. La face A est consacrée à l’histoire des cités HLM des Mureaux près de l’usine Renault de Flins. Ce portrait sensible et engagé d’une banlieue ouvrière en mutation est richement illustré d’archives souvent inédites et de paroles d’habitants. Les luttes politiques qui s’y déroulèrent font écho à tout un pan de l’histoire populaire de la France depuis les années 1960. Tandis que derrière les décombres des démolitions actuelles des tours et des barres de ces cités, derrière les grands feux de l’actualité, se déploie une autre scène : la face B, telle un carnet de tournage, raconte comment se réinventent, ici et maintenant, les petits feux d’une parole reconquise. Expérience documentaire, à la fois politique et poétique, De cendres et de braises est une histoire de rencontres qui a pris la forme d’un livre et d’un film. »

Les bandes dessinées

  • Amours plurielles : déconstruire le modèle du couple hétéronormé, Laureana Alycja et Héléna Coussy – 37,95$/19,90€
    • « Laureana, jeune trentenaire, découvre la relation polyamoureuse. Une bande dessinée qui interroge l’amour, l’hétéronormativité et les relations hommes-femmes afin de déconstruire la perception de l’amour romantique et se tourner vers une sexualité et une vie affective libératrices et émancipatrices. »
  • Résister et fleurir, Jean-Félix Chénier et Yoakim Bélanger – 35$
    • « Printemps 2020, en plein confinement, Jean-Félix Chénier enseigne le cours Utopies / Dystopies – Le point de bascule. Il décide de partir d’une lutte dans le quartier Hochelaga qui incarne parfaitement le sujet. La population s’y mobilise pour défendre un terrain en friche contre un projet de Ray-Mont Logistiques de transbordement de conteneurs. On retrouve d’un côté l’idéal de la nature et de l’autre les lois implacables du marché. Fruit d’une méditation sur la nécessité de forger une nouvelle sensibilité au territoire, Résister et fleurir met en images les échanges passionnants du professeur avec ses étudiant·es et le combat mené par la communauté pour un quartier à échelle humaine. »
  • Atypiques ?, Karine Danan et Stomie Busy – 34,95$/18€
    • « Cathy, une psychothérapeute, part en voyage en Egypte aux côtés de ses amis Jocelyne et Morgan. Des préparatifs précédant le départ aux diverses activités proposées sur place aux vacanciers, ce séjour est l’occasion pour tous les trois de découvrir leurs particularités respectives. Si Cathy élabore des cartes mentales, Jocelyne fait des check-lists et Morgan improvise en permanence. »
  • Je pense que j’en aurai pas, Catherine Gauthier – 29,95$
    • « Sous la forme d’une autofiction, à la fois roman graphique et journal intime, l’autrice aborde l’absence de maternité : un sujet épineux, empreint d’émotivité, qu’elle traite avec prudence, respect et sensibilité. Une introspection illustrée qui laisse place à l’interprétation et au questionnement. Chaque chapitre est entrecoupé de témoignages d’autres femmes qui expliquent pourquoi elles n’ont pas eu d’enfant. Des parenthèses dans le récit, comme autant de pistes à explorer.L’auteure aborde aussi l’épuisement, ou la dépression, qui peut influencer la décision d’une femme sur le fait de vouloir devenir mère. Un autre sujet délicat quelle aborde avec doigté. »
  • Le seuil, Fanny Vella – 32,95$/17€
    • « Malgré sa pétillance et son entrain naturels, Camille est empêtrée dans une relation toxique avec Jonathan dont elle peine à se départir. »

Les petits budgets

  • Amour et amitié, Jane Austen – 5,75$/3€
    • « De tous les talents ordinairement en possession de mon sexe j’étais la maîtresse. Au couvent, mes progrès avaient toujours été plus grands que ne le permettait l’instruction reçue, les connaissances dont je disposais étonnaient chez quelqu’un de mon âge, et je surpassai bientôt mes maîtres.. Toutes les vertus susceptibles d’orner un esprit se retrouvaient dans le mien. Il était le lieu de rencontre de toutes les qualités et de tous les sentiments élevés.. Mon seul défaut, s’il mérite ce nom, était de posséder une sensibilité trop vive, prompte à s’émouvoir de toutes les afflictions de mes amis, des personnes de ma connaissance, et plus encore des miennes. ».
  • Plaidoirie pour l’avortement, Gisèle Halimi – 5,75$/3€
    • « En 1972, l’avocate Gisèle Halimi représente la mère d’une fille mineure qui vient d’avorter de manière clandestine après avoir été victime de viol. Dans sa plaidoirie, elle défend le droit des femmes à disposer d’elles-mêmes et de recourir à l’avortement. »
  • Une femme puissante, Marie Ndiaye – 5,75$/3€
    • « Le parcours de Khady Demba, Sénégalaise rejetée par sa belle-famille à la mort de son époux. Elle est contrainte de migrer vers l’Europe et doit se battre pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. »
  • Pauline, George Sand – 5,75$/3€
    • « Laurence s’installe à Paris pour devenir actrice tandis que Pauline s’occupe de sa mère aveugle. A la mort de cette dernière, Pauline rejoint son amie mais elle supporte difficilement la réussite de celle-ci. La situation s’envenime lorsque apparaît Montgenay, un vil séducteur. »
  • En compagnie de Mrs Dalloway, Virginia Woolf – 5,75$/3€
    • « Cinq nouvelles et autant de variations sur le roman Mrs Dalloway de l’écrivaine britannique, parmi lesquelles Mrs Dalloway dans Bond Street, La robe neuve, Ensemble et séparés, L’homme qui aimait son prochain et Une mise au point. »

Les livres jeunesse

  • 3-6 ans : Et toi, ta famille ?, Charlotte Bellière et Ian De Haes – 24,95$/13,50€
    • « Dans une cour de récréation, les élèves s’apprêtent à jouer au papa et à la maman. Cependant, en discutant, ils découvrent que certains enfants vivent dans des familles différentes. Ils adaptent alors les règles de ce jeu vieux comme le monde à leur époque et aux situations de chacun. »
  • Blanche comme un drap, Chloé Varin et Rémi Allen – 21,95$
    • « Un magicien peut passer des années à se pratiquer pour apprendre à disparaître. Moi je ne fais aucun effort. Je suis invisible sans le vouloir. Je suis Blanche (comme un drap). Il n’y a pas plus transparente que moi. Un récit enveloppant sur la quête d’affirmation de soi. »
  • Dès 14 ans : Fé M Fé, Amélie Dumoulin – 14,95$/13,90€
    • “Félixe remet le bébé pigeon qu’elle vient de trouver dans sa sacoche. Elle m’embrasse d’un côté, s’arrête, me fixe – ses joues sont toutes rouges d’excitation –, elle m’embrasse tout doucement de l’autre côté, puis repart sur son vélo à toute vitesse.— Je vais le sauver, Fé, tu vas voir, il va devenir grand, il va aller à l’université ! Je la regarde partir. Je pose la plume sur mon nez. En temps normal, je crois pas que je pourrais tomber en amour avec une fille. Mais une fille qui sauve un pigeon et qui l’appelle Clint, je pense que je vais faire une exception. »
  • Dès 14 ans : Les hauts et les bas de Fish, Joanne Levy – 10,95$/6,60€
    • « Fishel (Fish) Rosner, douze ans, n’aime pas les activités qui plaisent généralement aux garçons. Il déteste les sports et préfère lire ou faire du bricolage plutôt que de grimper aux arbres ou de faire du vélo de montagne avec ses amis. Il aime aussi danser. Tout ce qu’il aime est considéré comme des passe-temps de « filles », mais Fish ne comprend pas pourquoi ce serait une mauvaise chose. Il s’intéresse simplement à des activités différences des autres garçons. Quand il demande à sa Bubby de lui enseigner le tricot, elle lui dit d’aller jouer dehors. Quand il insiste pour que sa mère l’amène au cours de zumba, elle l’inscrit plutôt au water-polo. Pourquoi tout le monde décide-t-il ce que Fish doit faire ou ne pas faire? »
  • Dès 14 ans : Ma première fois, Ouvrage collectif sous la direction Karine Glorieux – 24,95$
    • « Les premières fois comme on ne vous les a jamais racontées. Sans filtre ni tabou. Si on se disait les vraies affaires ? C’est le pari de ce recueil de nouvelles qui propose des récits intimes diversifiés et surtout, toujours francs. Un baume idéal sur l’anxiété des premières fois. Avec ou sans Doritos. »